Higure Kaiko [Inscription Acceptée]

Nom: Higure [=Crépuscule]

Prénom: Kaiko [=souvenir -en tout: ça fait souvenir du crepuscule]

Age: 15 ans

Race: Humaine

Sexe: Féminin

Orientation sexuelle: Hétérosexuelle

Classe: 4ème année

Pensionnat: Oui

Description physique: Kaiko est jeune fille assez mignonne, même si, il faut l’avouer, elle n’en a pas conscience. Du haut de son mètre soixante huit, elle est plutôt maigrichonne, ce qui ne lui empêche pas d’avoir quelques formes généreuses. Quant à sa manière de s’habiller, elle est simplette. Elle a tout de même l’habitude de porter très souvent des jupes avec des chaussettes montantes.

Elle possède un regard profond, des yeux qui pourrait en faire frémir plus d’un. C’est ce qu’il y a de plus séduisant en elle, ou plutôt ce qui rend un peu plus différente. Même si des yeux couleur noisette, il y en a beaucoup. En ce qui concerne ses cheveux, ils sont noirs, court et très souvent lâchée. Elle y prend le plus grand soin, même si la plupart du temps ils sont un peu gonflés.


Description mental:Timidité, spontanéité et solitude, voici les maîtres mots qui décrivent de façon vague le mental de Kaiko. C’est le genre de jeune fille qui a tendance à se laisser rougir ou pleurer par un excès de sentiments ou par quelques mots touchants. Une personnalité peut-être fragile aux premiers abords, mais ça ne veut pas dire que notre jeune étudiante se laisse marcher sur les pieds. Quant à son côté solitaire, elle l’a toujours eu. Elle a tendance à ne pas offrir sa confiance aux autres. Elle préfère rester seule plutôt qu'aller vers les autres...Peut-être un signe de manque de confiance en elle? Sûrement, car la petite brune a tendance à se dévaloriser qu'autre chose. Elle défoule cette lacune par le biai de ce caractère solitaire mais pas seulement...Elle est ainsi. Ce qui ne veux pas dire qu'elle n'a pas d'amis, loin de là. Juste qu'elle aime la solitude...De moins en moins, certes, mais toujours autant dans un sens.

Rêve: Rendre heureux ceux qu’elle aime

Histoire: Kaiko est née d’une famille assez aisée, a l’époque, elle ne vivait pas dans la région. Beaucoup d’amour, des parents qui cèdent à tous ses caprices et pour finir une vie de princesse. Tout ce qu’un enfant pouvait rêver. Et au milieu de ces centaines de robes, de ces poupées et de tous ces bibelots, se trouvait Kaiko. Elle avait eut une enfance que beaucoup désirait.

Malheureusement l’argent n’apportait pas tout, son père, qui était la source de cette richesse, n’était jamais présent et ils déménageaient trop souvent. Ainsi Kaiko n’avait jamais su se faire des amis, établir des liens solides avec les autres…Et surtout elle souffrait de ne pas pouvoir prendre son père entre ses bras. Ils se voyaient si peu souvent.

Le temps était passé et Kaiko avait à nouveau atteri dans une école. Là-bas, les gens l'a regardait de travers, ils la traitait de gosse de riche et ce fut le cas dès les premiers jours qu'elle sut qu'elle n'avait pas sa place ici. Le lendemain de la rentrée, elle s'était installée à une place à côté d'une fille qui avait l'air sympathique, ne prenant pas en compte les remarques désobligeantes des autres. Elle avait cherché à lancer la conversation, voulant se faire des amis:

"Heu...Salut, je m'appelle Higure Kaiko. Alors comme ça on sera voisines? C'est cool, non?"

Son interlocutrice lui lança un regard, le sourire aux lèvres puis lui répondit:

"Il paraît que ton père fournit des fonds au lycée. Pas étonnant que tu sois la coqueluche des profs."

Kaiko baissa le regard puis le posa sur ses cahiers. Qu'est ce qu'elle avait fait pour mériter ça? On la detestait déjà dès les premiers jours, avait-elle fait quelque chose de mal? Est-ce sa faute si elle avait du fric? Etais-ce sa faute? De toute manière, elle n'avait jamais eu de chance. La plupart du temps, les gens prenaient du plaisir à la prendre comme bouc-émissaire, car elle était riche et soit disant faible.

"Pas besoin de faire la tête, je le remarquais juste. Moi, c'est Honoka. Enchanté."

Le regard de la jeune fille se reporta une nouvelle fois vers la jeune fille, le sourire aux lèvres. Finalement, elle s'était fait un film toute seule, elle était rassurée...

Quelques jours étaient passés, Kaiko avait sympathisé avec Honoka et le regard des autres étaient moins pesants. D'ailleurs, les élèves avaient fini par se faire une raison: elle était pleine aux as, c'était un sujet de moquerie un jour pas toujours. Vous savez, ces gens qui s'amusent à vous descendre pour des raisons débiles alors qu'ils ne valent pas mieux. Si vous n'êtes pas assez courageux pour y faire face, vous êtes choisi comme bouc-émissaire. C'est la loi de la jungle! Mais finalement cette impitoyable loi avait fini par laisser tomber Kaiko. Mieux valait que ça soit ainsi...Malheureusement, si ce n'était pas elle, ça allait être quelqu'un d'autre. Honoka était la prochaine...

Alors que les deux lycéennes discutaient tranquillement durant leur pause, une remarque se fit entendre, d'ailleurs ça devait être voulu:

-Vous trouvez pas qu'Honoka a un gros nez?

-C'est clair. Elle a de l'avenir à tant que clown.

Quelques rires aigus se firent entendre. Kaiko se retourna aussitôt vers son amie, qui se contentait de baisser le regard, disant qu'elle se fichait de ce qu'elle disait. La jeune fille ne préfèra pas en demander plus et se contenta de se taire. Se taire est la seule solution lorsque l'on ne sait pas quoi faire...

Le soir lorsque les deux filles faisaient le chemin vers chez elles. Il y eut un blanc...Un blanc jusqu'à ce Honoka relance le sujet:

"Dis Kaiko-chan...Tu trouves que j'ai un gros nez?"

La jeune fille regarda son amie d'un air ahurie. Quelle était cette question? N'avait-elle pas dit qu'elle se fichait de leurs avis? En même temps, sa question était compréhensible. Lorsque quelqu'un vous dit quelque chose sur votre physique, aussi faux soit-il, vous y croyez. C'est humain de penser comme ça.

-Mais nan, mais nan...Tu n'as pas un gros nez, pas du tout, même.

-J'ai l'impression que tu mens...Tes mots sonnent faux. Je suis si laide que ça?

-Non! Qui t'as mis cette idée dans la tête? Tu es très jolie. D'ailleurs, pour être sincère, je t'envie.

Kaiko ne mentait pas. Elle avait toujours trouvé Honoka jolie. Elle l'était, c'était un fait. Dans le fond, si ces filles se mettaient à rire d'elle, c'était par pur jalousie, ça crevait les yeux. C'est ça les pestes. Toujours à rire de vous alors que dans le fond c'est pas forcément ce qu'elles pensent. Des gens comme ça, il y en a beaucoup. Surtout des filles. Les filles ont tendance à être pestes, c'est connu, mais pas toujours de la même manière suivant les personnes. Quoi qu'il en soit, Kaiko était triste de voir Honoka déprimait pour quelque chose d'aussi absurde, d'ailleurs elle s'était décidée à ne pas laisser son amie dans cet état. Elle allait voir ces filles. Prendre son courage à deux mains et leur dit d'arrêter...Plus facile à dire qu'à faire.

Elle se trouvait dans les vestiaires des filles, cela faisait maintenant cinq mois que les cours avaient commencé. Kaiko enfilait ses vêtements alors que Honoka sortait tout juste de la douche. Lorsque ces pestes la virent, une d'elles s'exclama:

"Vous avez vu ses jambes...Elle devrait songer à faire un régime."

Honoka se contenta de s'habiller sous le regard anxieux de son amie.

-En plus, il paraît qu'elle couche régulièrement avec ce gars de sixième année. Vous savez le grand Teruki.

-Ahhh...Il est horrible. Elle doit faire ça pour le fric, mais quelle pute.

Honoka s'arrêta puis quelques larmes se mirent à couler le longue de son visage. A vrai dire, elle sortait avec ce dit Teruki depuis et n'avait dit qu'à Kaiko qu'elle avait franchi le pas. Se pourrait-il que Kaiko leur en ai parlé? Elle la regarda. Non, ça ne pouvait pas être elle...Alors Teruki? Elle ne savait pas mais n'allait pas se faire traiter de "pute" sans rien dire. Elle se retourna, les yeux larmoyants, puis le leur cria littéralement dessus:

"Qui vous a dit ça?!!!"

Les filles se mirent à rire, puis celle qui avait parlé entama:

-La prochaine fois, choisi un mec avec plus de tune...Et qui n'ira pas s'en vanter partout...

Honoka ne put se retenir et gifla la fille qui venait de lui parler, lui criant dessus de ne pas lui parler de cette manière...Seulement elles étaient plusieurs. Une fille tint Honoka par derrière...Aussitôt Kaiko sut qu'il était temps qu'elle agisse. Qui sait ce qu'elles pouvait faire. Elles étaient capable de bien des choses.

-Lâchez-la!

-Tiens, tiens...La gosse de riche parle...Si j'étais toi, je me la fermerais. Il y en a bien plus à dire sur toi que quiconque dans cette classe. Tu es tellement moche que tu ne t'ai même pas trouvé un copain...C'est navrant. Tu ne peux même pas jouer les putes, que c'est dommage...

Kaiko serra le poing, les yeux presque larmoyants que ceux de son ami, elle se contenta de répondre:

"Je t'ai dit de lâcher Honoka-chan...Pas de jouer les pestes."

Elle s'était promis de ne pas jamais user de ses mains, mais elles l'avaient cherché. Son poing se retrouva sur le ventre de l'une des filles qui s'écroula litéralement. Sous le feu de la colère, Kaiko devait incontrôlable. Sa force également. Oui, elle n'avait jamais eu de copain, mais c'était normal, non? A 14 ans, rien de plus logique. Mais la sociète d'aujourd'hui est tel que l'on se trouve à sortir avec quelqu'un de plus en plus jeune. C'est limite si ne pas être pris à 13 ans était un honte...Il y avait de quoi se poser des questions.

Quoi qu'il en soit, Kaiko fut sévèrement puni par ce geste. Les filles ne l'avaient pas caftés. Non. Elles avaient décidé de se venger et faire connaître à Kaiko ce qu'elle avait fait connaître à leur amie.

Un jour, elles l'emmenèrent de force aux toilettes, puis commencèrent à lui lancer toutes les méchancetés possibles. Idiote, incapable, sale pute, mocheté, grosse brute, planche à pain...Ce ne fut pas tout. Non comptant de l'avoir détruit moralement, elles s'étaient décidées à passer au physique. En effet, d'après elle, son coup de poing devait être rendu. Et ce fut le cas. Kaiko se retrouva au sol, pleurant toutes les larmes de son corps.

"ça fait mal, hein? Tu n'aurais pas toucher à Hino-chan..." dit alors l'une d'elle en s'amusant à écraser sa main avec sa chaussure

Hino se retrouva alors devant elle. Elle la regardait d'un air dégoûté. Kaiko savait qu'elle allait en souffrir, elle avait voulu être courageuse et les défier et voilà où elle se trouvait maintenant.

"Elle n'a pas assez souffert...Je sais exactement comment elle pourrait le payer." dit-elle en sortant un couteau suisse de sa poche

Les filles la regardèrent d'un air étonnée. Elles n'avaient pas pensé en arriver jusqu'à là...

-Tu ne trouves pas que c'est exagéré?

-J'avoue, c'est trop là.

-Urusai! Contentez vous de la tenir, je ne vais pas faire grand chose...

Kaiko continuait de pleurer. Elles allaient bien loin, mais trop loin, juste pour un coup. La vie était injuste. Et si elles la tuait? Kaiko avait peur, elle était tétanisée. D'ailleurs les autres filles aussi étaient effrayés par ce que voulait faire Hino.

-Yamete! S'il vous plaît! Arr...Arrêtez...

-Inutile...Tu vas goûter aux fruits de tes actes. A cause de toi...A cause de toi...J'ai beaucoup souffert...Ton coup a été tellemen fort que j'ai dû aller à l'infirmerie et j'en suis arrivé à cracher du sang. Sale pute! dit-elle en lui foutant son pied sur le ventre

Kaiko se débattait mais elles étaient tenu de tout les côtés. Est-ce sa faute si son simple coup avait réussi à blesser Hino? Non alors pourquoi s'amusait à la détruire? Pourquoi s'amusait à l'humilier? Kaiko n'avait qu'une envie, quitter son monde sur le champs. Disparaître en un amas de fumée et ne plus jamais revenir...

"Lâche-moi...Arrête..."dit-elle d'une voix faible

Hino se mit à rire puis reprit de plus belle:

"Tu vas aussi sentir le sang qui coule...Va en enfer!"

Elle prit son couteau suisse puis relançant vers le ventre de Kaiko. Celle-ci lança un cri de douleur et du sang se mit à couler.

-Hino, tu es folle? Regarde ce que tu as fait...

-Cassons nous vite...

Les filles partirent, mais seule une resta. Elle resta auprès de Kaiko, gênée par la tournure événement. Se disant qu'elle ne pouvait laissée un être souffrir ainsi sous ses yeux, elle appella l'ambulance, disant à Kaiko de tenir bon...Dans le fond, sans cette âme charitable, la jeune fille y serait sans doute passée...

A son réveil, elle était allongée dans un hôpital. Sa plaie avait été cicatrisée, seulement cette cicatrice était bien là, pas très longue, certes, mais assez visible tout de même. Heureusement pour elle, elle n’avait pas touché ses organes. Aussitôt le père de la jeune fille, qui était pour une fois là, décida de l’emmener dans un pensionnat. Ainsi il n’y aurait plus des déménagements, de plus, il avait choisi le pensionnat le mieux fréquenté du coin. Ce genre d’incident ne devait plus se reproduire.

Kaiko eut du mal à s’y faire. Cette cicatrice l’avait déprimée, de plus elle allait se retrouver seule. Oui, elle ne faisait plus confiance à personne, désormais elle avait décidé de ne se fier qu’à elle. Elle avait fini par se hair. Elle se détestait plus que tout, se disant que dans le fond tout était de sa faute...Voilà où pouvait en venir l'ijime. Un phénomène fréquent au Japon qui peut en arriver à des points inimaginables...
A son arrivée au nouveau pensionnat, sa méfiance était telle qu’elle avait décidée de rester la plus prudente possible. Mais il s’avéra que son attention s’était portée sur un garçon de la classe. Dès le premier jour. Il n’y avait pas que sa beauté qui avait attiré son regard, il dégageait quelque chose d’étrange, de doux…Quelque chose de si agréable. D'après ce qu'elle avait entendu des autres, il était un jeune homme très prisé et pas du même monde qu'elle. Elle s'était dit qu'elle n'avait aucune chance, et se répètait ce qu'on avait dit à l'époque: "Une fille aussi laide ne pourrait jamais trouver un copain". Elle se contentait de souffrir en silence, se disant qu'elle n'aurait aucune chance. Et pourtant ses sentiments ne s'effacaient au contraire il ne faisait que s'aggrandir. Elle l'aimait et beaucoup de filles avaient remarqué quel intérêt elle portait pour lui. Elles lui répétait de laisser tomber et pourtant dans le fond elle avait de l'espoir...

-Dis Kaiko-chan, tu ne trouves pas que Dark est beau?

-Qu'est ce que je ferais pas pour être avoir lui! Rien que d'y penser, j'en tremble!

-Hum...C'est vrai.

-T'es pas très bavarde, comme d'habitude...Mais enfin...Je me suis rendu compte que t'arrêter pas de le matter en cours...Je t'ai grillée, ma petite. Allez racontes, il te plaît, c'est ça?

Kaiko se mit à rougir, se contentant de baisser le regard. La plupart du temps on ne lui parlait pas, mais ces deux filles avaient l'air sympathiques. Peut-être devait-elle leur raconter? Non...Elle ne devait pas leur faire confiance, on ne sait jamais.

-Qui t'a mis cette idée dans la tête? Non, il ne m'intérèsse pas du tout.

-Oh allez, ça crève les yeux! Raconte nous tout, on va essayé de t'arranger un coup.

-Hein? Comment ça? Mais moi il me plaît aussi Dark-kun!
Elles se mirent à rire, ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas ri. Finalement, c'était bien ce qu'elle pensait ces filles étaient réellement sympa. De toute manière, elle n'avait rien à perdre.

-En faite, tu as raison...Je...Je suis amoureuse de lui. Depuis que je suis ici...Je sais que je n'ai aucune chance...Mais...Je ne peux m'empêcher d'avoir des sentiments!

-Oh c'est trop mignon! Je suis de tout coeur avec toi, en plus vous iriez bien ensemble. M'enfin, il va falloir que tu te rapproches de lui.

-Je...Je peux pas. Tu sais, il est vachement populaire alors que moi...Je suis le stéréotype même de la fille coincée et timide...Je ne me fais pas d'illusions.

-Et si je te dis qu'en ce moment même, il en train de te regarder...

Kaiko se mit à rougir, se retourna vers Dark. Elle essaya de maintenir leur regard au maximum, mais finit par baisser les yeux...C'était la première fois qu'elle regardait quelqu'un aussi longtemps...Et c'était aussi la première fois que son coeur virvoltait de cette manière.

-De qui vous parlez? De Dark?

-Fiche le camps, ça te regarde pas.

-Pfff, de toute manière, Dark ne regardera jamais une fille comme toi, la nouvelle. Haruka va tenter sa chance et tu sais à quel point elle est adulée.

Kaiko se leva alors, puis se dirigea aux toilettes. Elle ne pouvait s'empêcher de pleurer..C'était mort. Haruka était une très belle fille et pour ne pas gâcher le tout, tout les garçons se jettaient litéralement sur elle. Jamais elle ne la surpasserait...Mais elle finit par apprendre que Dark avait refusé la proposition de Haruka ce qui lui avait redonné espoir.

Un jour, suivant le conseil de cette fille, elle se décida à s'ouvrir et tenta du mieux qu'elle le put de s'approcher de Dark, le jeune homme qui avait volé son coeur. Une amitié était naissante…De plus, il lui procurait une sensation de bien-être. Quand elle était avec lui, elle se sentait si bien, si heureuse, son cœur battait à la chamade et elle adorait cette sensation. Finalement le beau jeune homme avait fini par se déclarer sous le regard surpris de Kaiko. Jusqu’à là, elle avait toujours cru que ça n’était pas réciproque. En tout cas, ce moment-ci fut le plus heureux de toute son existence…

Le temps passa et bien évidément leur complicité s'agrandissait au fil des jours. Leur amour partagé était si grand, si beau, qu'ils ne pouvaient rien se cacher...Si bien, qu'un jour Dark en vint à avouer son plus grand secret. En l'apprenant la jeune fille fut étonnée, vraiment, elle eut du temps à s'en remettre tellement ce secret était grand. Son amour pour Dark ne fut bien évidément pas changé, après tout ce n'était pas un secret qui allait le brisait, au contraire ce secret lui donnait envie de l'aider, de vivre avec lui à jamais. En même temps, elle avait l'impression que leur amour ne s'éteindrait jamais...De plus, lorsqu'elle apprit le secret de Dark, le petit souvenir de sa cicatrice se fit oublié. Ce n'était rien comparé à Dark, pourtant elle ne lui en avait pas informé...Elle trouvait ça si benin, si inutile...Elle en avait honte. Lui avouer avoir été une victime de l'ijime jusqu'à ce point, c'était une honte pour elle. Elle s'était contentée de lui dire qu'il s'agissait d'une cicatrice faite lorsqu'elle était petite. Elle était gênée de lui avoir menti...Surtout que lui avait eu l'honnêteté de lui avoir parlé de sa maladie. Chose était bien plus importante que sa vulgaire cicatrice. C'était surtout par honte qu'elle ne lui en avait pas parlé...Finalement..

Sport pratiqué: Du Kendo
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Nom et Prénom du père: Higure Soraku
Âge du père: 45 ans
Profession: Homme d’affaires
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Nom et Prénom de la mère: Higure Megumi
Âge de la mère: 42 ans
Profession: Pédiatre
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Frère(s) / Soeur(s):Aucun
Adresse de la Résidence familiale : [i][Je trouve pas en japonais]